Sex, Sun And Surf [02]

Sa caresse intime me fait perdre la tête. C’est mon sexe qui étouffe ses gémissements. Et ce sont ces souffles qui m’entraînent sur les chemins de l’orgasme. Parfois, entre deux respirations, c’est sa langue qui me pénètre.
Cette langue humide qui me fouille. Tantôt dure dans ma vulve. Tantôt molle sur mon clitoris. Je ne tiendrais pas longtemps.
Et mon excitation est exacerbée par l’odeur, le parfum et la douceur du sexe d’Erika.
On s’offre complètement, entièrement, sans fard.
L’une et l’autre, au bord de la jouissance. Au bord de l’orgasme… Et au bord de la mer.

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Erika, vous vous souvenez ? Une jolie fille rencontrée un soir de septembre devant un plan de métro, devenue intime après une nuit intense. On s'était promis une session surf dans son sud-ouest. Alors, voici le récit d'un doux week end...
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Il est encore tôt quand le réveil sonne. J’ouvre les yeux et m’écarte de mon amante. On a prévu un petit run sur la plage ce matin, l’histoire de se mettre en forme pour la suite de la journée.
Je pose un baiser sur sa bouche et me lève pour faire le café.
J’entre dans la douche. Le gel douche remplace l’odeur de notre nuit d’amour. Un sourire se fige sur mes lèvres, ce n’était pas gagné, mais qu’est-ce que c’était bon !
Quand je sors de l’eau, Erika me fait face, nue, les fesses posées contre le lavabo. J’att la serviette qu’elle me tend. Elle sourit et dit :
« Je t’essuie le dos ? »
Je me retourne, ses lèvres se posent contre ma nuque, je frisonne. Sa voix me parvient doucement :
« T'es belle, chérie, avec toutes ces gouttes d’eau. »
Je ris doucement sans répondre : je me connais, sinon, on ne sortira pas de cette salle de bain et on finira par se caresser contre ce lavabo !
« Va te doucher au lieu de me faire fondre ! On a un planning à respecter ! »

Quelques minutes plus tard, nous voilà en bord de plage, short et brassière, pour une bonne séance de course en fractionné.

Je sens les folies de la nuit ! Mon corps peine à suivre le rythme imposé.
Je jette un coup d’œil à Erika qui doit penser la même chose. Elle est rouge comme son short ! J’enlève mes chaussures et fait quelques pas dans le sable, l’histoire de reprendre mon souffle.
Je passe à côté de mon amante et claque gentiment son fessier.
Elle pousse un petit cri de surprise, je ris, moqueuse :
« Alors, on a un peu de mal ce matin ?
- J’vais te !
- Faudra d’abord venir me chercher, ma belle ! »
Je pars en courant vers l’océan avant de me jeter dedans.
C’est froid ! Mais ça fait du bien…
Erika m’attend sur le bord quand je reviens.
« T'es complètement malade ! » lâche-t-elle avant de déposer un chaste baiser sur mes lèvres.


Quel plaisir de retrouver l’eau et les sensations de glisse. Les vagues se succèdent mais le bien-être reste.
Occupée à faire corps avec ma planche et la mer, j’en oublie Erika. Son corps, son esprit, ses caresses et ses soucis.
Pourtant, en fin de session, je coule un regard vers mon hôte. Elle est belle dans sa combinaison moulante. Avec agilité, elle enfile les vagues. Je reste un moment à l’observer, partagée entre l’envie d’être à ce soir et le bonheur actuel.
On finit finalement par rentrer les planches et se dévêtir de la combinaison dans le local prévu.

Le corps d’Erika apparait doucement. D’abord les bras, puis dévoilant sa belle poitrine et ses tétons tendus par le froid. Son nombril, son pubis et sa fente ensuite. Cette vision m’électrise, mais vite cachée par ses quelques habits.
J’enlève à mon tour mon habit de néoprène, sous le regard d’Erika qui m’embrase. Je découvre mes seins durcis et érigés. Le froid ? Oui, mais pas seulement… Je suis de nouveau brûlante. Je me retourne et continue mon effeuillage. Je laisse les yeux d’Erika se perdre sur mes fesses, avant d’enfiler mon short et mon débardeur.
Je meurs d’envie de sentir son corps sur le mien, dans le mien, contre le mien… Mais non.
La belle ne bouge pas, appuyée contre la porte, elle m’observe.


Il fait encore jour, même si le soleil commence à décliner lorsqu’elle m’entraîne dehors. Deux filles qui marchent sur la plage. Deux copines… Echangeant quelques gestes évocateurs. Sa main qui se colle à la mienne, son bras dans mon dos, mes doigts contre ses belles fesses.
Et puis, d’un seul coup, Rik s’arrête brusquement devant moi. Elle se retourne. M’att le visage pour y coller le sien. Elle m’embrasse à pleine bouche sur cette plage.
Passé ma surprise, je réponds à ce sulfureux baiser. Nos langues, nos lèvres, nos chaleurs. C’est doux, puis la brutalité prend nos êtres. Je sombre avec plaisir dans le désir. La voix hachée d’Erika me coupe :
« Kim, j’ai besoin de faire l’amour, là ! »
Je souris et sors du sac une très grande serviette de plage. Je l’installe sur le sable, et m’allonge dessus.
« Moi aussi, je veux… »
Elle s’assoie sur la serviette et me regarde intensément. Je l’att par le cou, l’entraîne dans ma chute. Nous voilà toutes les deux emmêlées sur cette plage de sable. La serviette comme un cocon doux. Le soleil s’est couché : il n’y a plus qu’une douce noirceur.
« Erika, je suis dans un état… » gémis-je entre deux baisers.
Sa main avance vers mon bassin, comme pour le vérifier d’elle-même. Elle découvre mon sexe ouvert, offert et coulant.
Je la sens sourire contre mes lèvres. Ça m’excite encore plus.
Je l’embrasse avec violence. Nos dents s’entrechoquent. Nos lèvres se pressent. Je me donne entièrement dans ce baiser passionné. J’ai envie de fondre dans son corps. Ne faire plus qu’un avec elle.

L’idée que ma belle s’apprête à embrasser mon sexe sur cette plage me subjugue. Cette pensée m’amène gentiment au bord de la jouissance.
Mais pour l’instant, sa langue se perd contre mon cou et ce sont ces doigts qui massent mon intimité humide.
Erika me chevauche, ses genoux encadrent mon bassin.
Sa langue, qui renvient dans ma bouche, est raide, dure et possessive. L’excitation nous consume. Pas complètement passive, mes mains massent ses reins et ses fesses.
Je l’attire encore contre moi. Nos corps se frottent l’un à l’autre. Nos visages, nos seins, nos ventres.
Ma respiration saccadée répond à celle d’Erika.

Je m’écarte de sa bouche, me concentre sur son oreille. J’embrasse l’arrière de celle-ci, puis le haut de sa mâchoire. Je reviens jouer avec le lobe, le lèche, le mordille.
Ma belle frémis à ce contact. Sa peau est piquée de frissons.
Elle me murmure doucement :
« Kimmy, lèche-moi… S’il te plait… S’il te plait ! »
Sa voix, presque suppliante, me terrasse d’excitation. La situation, le ton employé… Je vibre. Je tremble. Je peine à respirer.

Je fais basculer Erika sur le dos, reste quelques instants contre sa bouche en massant sa poitrine.
Je me retourne, encadre son joli visage de mes jambes, et lui offre mon sexe ouvert. Son souffle irrégulier contre ma vulve me fait tressaillir de bonheur.
Je ferme les yeux, respire son odeur de plaisir et plonge ma langue dans ce doux fourreau. Je lape doucement la cyprine qui déborde.
Je veux que notre étreinte soit douce, tendre, affectueuse.
Je veux qu’on prenne le temps de s’aimer.
Je veux jouir d’elle et qu’elle jouisse de moi.

Ses doigts jouent avec mon anus. Lui aussi palpite en rythme. Sa langue, ses lèvres, ses doigts. Mon corps entier est à sa merci.
Je pénètre Erika de deux doigts au fond de son vagin humide et poisseux, lui arrachant un gémissement de bien-être. Ce lent va-et-vient semble avoir raison de ma comparse.
Ses râles se rapprochent. Elle halète. Elle se cambre. Le visage entre ses cuisses, j’assiste aux prémisses de sa jouissance.

Sa caresse intime me fait perdre la tête. C’est mon sexe qui étouffe ses gémissements. Et ce sont ces souffles qui m’entraînent sur les chemins de l’orgasme.
Parfois, entre deux respirations, c’est sa langue qui me pénètre.
Cette langue humide qui me fouille. Tantôt dure dans ma vulve. Tantôt molle sur mon clitoris. Je ne tiendrais pas longtemps.
Et mon excitation est exacerbée par l’odeur, le parfum et la douceur du sexe d’Erika.
On s’offre complètement, entièrement, sans fard.
Un instant, l’idée qu’un voyeur profite de notre spectacle m’effleure. Mais cette pensée s’évanouie en entendant ma belle râler.
L’une et l’autre, au bord de la jouissance. Au bord de l’orgasme… Et au bord de la mer.

Sa langue douce contre mon clitoris turgescent se raidit. Un arc électrique, une boule de chaleur, me saisit. Me terrasse littéralement. Je me cambre, en cherchant à accen encore la caresse de ma savoureuse amante. Mon corps ne me répond plus.
La violence de la jouissance me fait mordiller le clito d’Erika et insérer profondément mes doigts en elle. Je n’ai plus conscience de rien.
Mon orgasme est long, intense, impressionnant. J’att le bassin de ma belle comme un naufragé. Je jouis sans doute bruyamment. Mon sexe palpite, mon cœur aussi. Ma chatte suinte de mon plaisir. Et je continue à trembler.
J’entends vaguement le cri de plaisir d’Erika, happée par l’orgasme. Sa cyprine coule sur mon visage. Ses hanches ont des mouvements saccadés que je ne peux empêcher malgré mes bras enroulés autour d’elles.

L’orgasme est puissant pour nous deux. Erika finit par se retourner et déposer un long baiser sur mes lèvres. Nos corps se cherchent. Et dans les bras l’une de l’autre, nos tremblements s’estompent lentement.
Longtemps après, on prend conscience de la situation : deux femmes enlacées, nues, sur une serviette, face à la mer, qui viennent d’avoir un orgasme monstrueux.
« On rentre ? »

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Une suite, peut-être...

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